Structure Souffle in situ dans l’exposition de l’architecte Bijoy Jain.
Structure Souffle, de la chorégraphe Myriam Gourfink, prendra place au sein de l’exposition Le souffle de l’architecte consacrée à l’architecte Bijoy Jain le 4 mars. L’exposition, ouverte depuis le 9 décembre à la Fondation Cartier pour l’art contemporain, n’est pas conçue selon la tradition de ce genre de manifestation avec maquettes et croquis mais a été spécialement pensée, par l’architecte indien lui-même et son studio Mumbai, pour le bâtiment tout en transparence construit par Jean Nouvel.
Myriam Gourfink y est invitée à reprendre sa pièce Structure Souffle dansée à sa création en 2021 dans la Sainte Chapelle du Château de Vincennes (lire aticle). Elle est rebaptisée pour l’occasion Structure Souffle in situ et adaptée à cette nouvelle configuration inédite au sein d’une exposition singulière dans cette vaste architecture de verre. Le public pourra se déplacer librement d’une salle à l’autre pour suivre les différentes figures (quatuor, duo et solo) que formeront durant 1 heure 30 les 7 danseuses qui évolueront au son de la composition de Kasper T. Toeplitz jouée en live.
La performance Structure Souffle de Myriam Gourfink convoque la respiration comme élément moteur de la composition chorégraphique. Le groupe entier des interprètes devient alors comme un grand poumon, constitué de ses multiples alvéoles individuelles, qui au rythme du souffle des unes et des autres s’élargit ou se rétracte.
Structure Souffle in situ devrait donc trouver tout naturellement sa place au sein de cette exposition de Bijoy Jain, un architecte qui accorde une place tout à fait particulière à l’eau, l’air et la lumière, éléments qui sont à la base de chacune de ses réalisations.
Structure souffle de Myriam Gourfink le 4/03 à la Fondation Cartier pour l’art contemporain.
Danse : Amandine Bajou, Karima El Amrani, Myriam Gourfink, Suzanne Henry, Deborah Lary, Annabelle Rosenow, Véronique Weil.
Composition et électronique live : Kasper T. Toeplitz.
Info et réservation sur la page de la Fondation Cartier.
On pourra retrouver Myriam Gourfink au CN D avec Nulle part et partout les 28, 29 et 30 mars, une pièce avec un groupe d’amateur.rice.s (Lire par ici)