< Danse au musée du Louvre >
La Danse s’invite au Musée du Louvre en cette fin 2024.
Après avoir invité Anne Teresa de Keersmaeker en 2022 à investir les salles du musée durant deux semaines avec la performance Forêt, puis Jérôme Bel en 2023, le festival d’Automne reconduit son partenariat avec le Louvre en invitant François Chaignaud pour une série de performances sous le titre Petites joueuses, qui se tiendra cette fois-ci au pied des anciennes fortifications du château, au sein du Louvre Médiéval.
◊ Petites joueuses de François Chaignaud du 4 au 16 novembre.
À l’occasion de l’exposition Figures du fou. Du Moyen âge aux romantiques, qui explore la valeur subversive de l’insensé dans la société médiévale, le danseur et chorégraphe François Chaignaud présente Petites joueuses, une pièce en forme de parcours immersif et continu dans le Louvre médiéval où des créatures mutantes et résonnantes investissent ses fortifications, et forment un troublant carnaval.
En continu de 19h30 à 23h30 dans le Louvre médiéval, comprenant la visite libre de l’exposition Figures du fou. Du Moyen Âge aux Romantiques. Neuf créneaux par soirée sont proposés à la réservation.
En partenariat avec le festival d’Automne, il reste des places sur le site du Louvre.
< Danse au Musée de l’Orangerie >
◊ Figures de Dalila Belaza le 14 octobre.
Une fois par mois, la danse se donne à voir dans la salle des Nymphéas avec le projet Danse dans les Nymphéas. En octobre, on retrouvera Dalila Belaza dans une forme performative de Figures, vue à Lafayette Anticipations dans le cadre du festival Échelle Humaine.
◊ Fantasia de Ruth Childs le 18 novembre.
Deuxième solo de Ruth Childs qui, après avoir remonté plusieurs des pièces de sa tante Lucinda Childs, parcourt le fil de sa mémoire d’enfant qui écoutait Ludwig van Beethoven, Piotr Ilitch Tchaïkovski, Antonín Dvořák… Une exploration du mouvement à partir de ses souvenirs de petite fille.
◊ How to thank flowers for their fleeting abundance de Robyn Orlin le 2 décembre.
Info et réservation sur le site du musée.
< Centre Pompidou >
◊ Still Not Still de Ligia Lewis du 23 au 26 octobre.
La chorégraphe Ligia Lewis poursuit avec Still Not Still sa réflexion sur les silences et les zones d’ombres de l’Histoire. Dans cette pièce, les interprètes rejouent en boucle une partition dont la dimension burlesque ne fait que souligner le tragique.
Réservation avec le festival d’Automne ou sur le site du Centre Pompidou.
< Danse au Musée d’Orsay >
◊ Skaut de Hallgrim Hansegård du 22 au 23 novembre.
En écho à l’exposition Harriet Backer (1845-1932), la musique des couleurs, le musée d’Orsay programme le festival Les Norvégiennes en scène qui propose d’explorer la richesse des voix des artistes norvégiennes d’aujourd’hui : le chorégraphe Hallgrim Hansegård met en scène les danseuses de la compagnie Frikar dans un dialogue entre répertoires contemporain et traditionnel.
◊ Carnets d’esquisses – Architecture les 3 octobre et 19 décembre.
A l’initiative du Paris Dance Project (Benjamin Millepied et Solenne du Haÿs Mascré), Orsay accueille des works in progress de chorégraphes émergents. Gratuit sur présentation d’un titre d’accès au musée.
◊ À pas dansés · Visite dansée en famille avec des enfants de 6 à 12 ans.
Cette visite-atelier, animée par Laure d’Eszlary, médiatrice culturelle et danseuse, permettra de découvrir les œuvres d’une manière nouvelle et d’en faire l’expérience en dansant.
◊ ArtetSens.
Des activités participatives et créatives à destination des adultes ont lieu au sein de salles où sont exposées les œuvres. Accompagnés par des artistes pédagogues, il s’agit d’aborder les œuvres de façon sensible par le chant, la danse ou le dessin.
< Musée d’art moderne de la ville de Paris >
Ils n’ont rien vu (extrait) de Thomas Lebrun le 10 novembre.
Dans le cadre de l’exposition L’Âge atomique, le Musée d’Art Moderne de Paris et le Centre chorégraphique national de Tours vous invitent à découvrir une réactivation unique de la pièce Ils n’ont rien vu de Thomas Lebrun. Inspirée par le film et le livre Hiroshima mon amour, cette performance évoque l’histoire tragique d’Hiroshima.
< Fondation EDF >
◊ Exposition Dans(e) la lumière du 19 octobre au 25 janvier 2025.
Lieu rompu aux expositions d’art contemporain, la fondation se lance dans une nouvelle saison culturelle, avec une programmation autour de la lumière et ses déclinaisons dans les domaines des arts plastiques et de la danse. A partir du 19 octobre et jusqu’au 30 janvier 2025, la fondation propose un accrochage inédit d’œuvres de sa collection constituée au fil des ans. Pour cette première édition, des œuvres peu ou jamais exposées de Raoul Dufy, Man Ray, Julio Le Parc ou encore François Morellet seront présentées.
En écho à cette exposition, la Fondation propose une programmation danse qui prendra la forme de performances ou de spectacles, commandés auprès d’artistes chorégraphiques de renom : Angelin Prejlocaj (Ballet Junior), Leila Ka, Carolyn Carlson, Mazelfreten, Jann Gallois, Maud Le Pladec, Alban Richard, Thomas Lebrun, etc.
L’exposition est gratuite. Les performances de danse auront lieu les mercredi et jeudis, gratuites pour les scolaire et les association à 14h30, et ouvertes à 19h pour le grand public pour lequel elles seront payantes avec réservation.
Programme détaillé, info et réservations : Fondation EDF.
< Maison européenne de la photographie >
◊ Visite dansée en famille les 24 novembre et 8 décembre.
Menée par la chorégraphe Yéhoudit Cohen de la Compagnie Mineola, la visite consiste en des improvisations guidées ainsi que des jeux dansés permettant de laisser émerger une relation nouvelle entre adultes et enfants, et plus largement de vivre une expérience commune et partagée par tou·tes. En lien avec l’exposition Sciences/Fictio – Une non-histoire des Plantes.
◊ Pièces distinguées, une exposition jusqu’au 4 avril 2025.
À l’occasion de l’installation du CN D à Pantin il y a vingt ans, l’exposition Pièces distinguées propose de présenter quelque 250 fonds d’archives et collections particulières – d’artistes, de critiques et chercheurs, de photographes et vidéastes, de balletomanes ou encore de structures et professionnels de la danse – rassemblés par la médiathèque du CN D depuis sa création. Une exposition gratuite, en entrée libre, à découvrir dans les espaces du CN D jusqu’au 4 avril 2025.
